Correio de Natal
Et si tu n'existais pas
Dis-moi pourquoi j'existerais
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regret
Et si tu n'existais pas
J'essaierais d'inventer l'amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
Et qui n'en revient pas
Et si tu n'existais pas
Dis-moi pour qui j'existerais
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais
Et si tu n'existais pas
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va
Je me sentirais perdu
J'aurais besoin de toi
Et si tu n'existais pas
Dis-moi comment j'existerais
Je pourrais faire semblant d'être moi
Mais je ne serais pas vrai
Et si tu n'existais pas
Je crois que je l'aurais trouvé
Le secret de la vie, le pourquoi
Simplement pour te créer
Et pour te regarder
Et si tu n'existais pas
Dis-moi pourquoi j'existerais
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regret
Et si tu n'existais pas
J'essaierais d'inventer l'amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
Et qui n'en revient pas
[Joe Dassin - «Et si tu n'existais pas»]
Dis-moi pourquoi j'existerais
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regret
Et si tu n'existais pas
J'essaierais d'inventer l'amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
Et qui n'en revient pas
Et si tu n'existais pas
Dis-moi pour qui j'existerais
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais
Et si tu n'existais pas
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va
Je me sentirais perdu
J'aurais besoin de toi
Et si tu n'existais pas
Dis-moi comment j'existerais
Je pourrais faire semblant d'être moi
Mais je ne serais pas vrai
Et si tu n'existais pas
Je crois que je l'aurais trouvé
Le secret de la vie, le pourquoi
Simplement pour te créer
Et pour te regarder
Et si tu n'existais pas
Dis-moi pourquoi j'existerais
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regret
Et si tu n'existais pas
J'essaierais d'inventer l'amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
Et qui n'en revient pas
[Joe Dassin - «Et si tu n'existais pas»]
5 Comments:
caramelo, e amanha?
By Joao Galamba, at 7:09 da tarde
Liguei-te há pouco e deixei mensagem. LIga-me ou manda-me email. Nada de combinações aqui que isto já está com intimismos que cheguem ;)
By Tiago Mendes, at 7:15 da tarde
Grande citação.
Quando tinha 6 anos adormecia ao som desta magnífica - e tristíssima - canção do Joe Dassin. A minha mãe costumava por música antes de irmos para a cama de modo a acalmar-nos (sem grande sucesso, diga-se de passagem). Retornar a essas memórias é, em parte, doloroso. É um mundo que não volta.
By Anónimo, at 7:54 da tarde
Como eu te compreendo, meu caro, como eu te compreendo...
By Tiago Mendes, at 8:13 da tarde
defenitivamente, este blogue está dengosamente intimista! but i don't dislike it... in fact, it's quite amusing
By aL, at 8:50 da tarde
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